La collection des reportages de Lefranc se poursuit avec le moment essentiel de la Seconde Guerre mondial : la chute du Reich. Après Le Mur de l'Atlantique, Le Débarquement et la Bataille des Ardennes, la collection des reportages de Lefranc se poursuit avec le moment essentiel de la Seconde Guerre mondial en Europe, la fin du conflit : la Chute du Reich. Olivier Weinberg et Yves Plateau illustrent les faits depuis janvier 1945 avec l'avancée américaine jusqu'à la capitulation allemande en mai 1945.
Et en partant du côté soviétique de Stalingrad (en 1942) jusqu'à l'entrée de l'armée russe dans Berlin. Historienne au Mémorial de Caen et spécialiste de la Seconde Guerre, Isabelle Bournier à rédigé les textes.
De retour du domaine de la mort, le Titan Thanos s'associe à l'un de ses anciens ennemis et affronte le Silver Surfer.
Lorsque Simon Davenport rentre chez lui après une semaine d'absence, c'est une étrange réalité qu'il retrouve : sa femme Sylvia, pourtant morte depuis deux mois, apparaît à la fenêtre de chez lui, de drôles d'inscriptions couvrent les murs de sa cave, et une chanteuse de l'hôtel local ressemble étonnamment à Sylvia. Simon commence à perdre pied.
En 1978, Manfred, ingénieur dans un centre de recherche spatial cherchant à concurrencer la Nasa et Ariane, est envoyé au Zaïre pour superviser la fabrication des premières fusées africaines, commandées par le dictateur Mobutu.
L'homme qui voulait devenir lascard. Automne 2005. Émeutes dans les banlieues françaises. L'état d'urgence est déclaré. Au bout de la ligne B du RER, Laurent vend des téléphones portables dans un centre commercial. Il a une petite lle qu'il adore. À part elle, sa vie n'est qu'une longue suite d'humiliations : son patron passe ses nerfs sur lui, sa femme le couvre de reproches et il se fait racketter dans les transports en commun.
Mais cette fois, c'est l'agression de trop ! Laurent ne va plus se laisser faire. Il va prendre sa vie en main : maintenant, le prédateur ça sera lui ! Du moins c'est ce qu'il croit… Une fiction haletante au coeur du réel, entre La Haine et Taxi Driver.
Douze ans ont passé depuis la mort du père d'Aelio en pleine course de chars. Le jeune homme s'est promis de ne pas connaître le même destin, mais ce dernier distribue les cartes à sa guise...
Le célèbre conte illustré en BD pour les tout-petits !
Il était une fois une petite chèvre blanche qui rêvait d'échapper à l'attention de son maître, M. Seguin, pour aller gambader dans la montagne. Éprise de liberté et ignorant les avertissements, elle part à l'aventure... au risque de rencontrer le loup.
Les enfants de 2 à 6 ans adoreront ce conte, issu des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet, dans une version illustrée et sans texte. Une histoire également à raconter le soir grâce à la version classique du conte, est incluse avec les textes d'Alphonse Daudet.
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Déjà connu depuis 1964 pour sa série Les 4 As créée avec Georges Chaulet, François Craenhals, passionné de longue date par le Moyen Age, lance Chevalier Ardent en 1966. Immédiatement adopté par les lecteurs du journal Tintin où paraissent ses aventures, le personnage devient vite un classique de la bande dessinée d'inspiration médiévale. François Craenhals animera ses aventures jusque dans les années 2000 à raison d'une vingtaine d'albums, tous publiés chez Casterman.
Cette oeuvre importante, dont le scénario rebondit d'album en album, fait aujourd'hui l'objet d'une nouvelle édition sous la forme d'une intégrale d'inspiration vintage en 6 volumes, dont voici le quatrième tome. La publication de l'intégrale, amorcée à l'automne 2013, se poursuivra jusqu'à l'été 2015. Chaque volume, d'une pagination de plus de 200 pages et assorti d'un dossier inédit de Stéphane Caluwaerts, rassemble 4 tomes des aventures de Chevalier Ardent. Le tome 6 sera consacré aux récits courts. L'ensemble bénéficie d'une présentation à la fois vintage et rénovée : dos rond, nouvelles maquettes de couverture, etc. Une nouvelle vie pour une oeuvre patrimoniale.
Le tome 4 rassemble quatre aventures de Chevalier Ardent : Le Passage, Le Champion du roi, Le Piège et L'Arc de Saka.
Une série de récits et de portraits comiques d'acteurs et d'actrices de la révolution mexicaine qui est une fresque du quotidien, peuplée d'êtres humains, avec leurs rêves, travers, désirs et défauts.
Christian Cailleaux se définit comme un « promeneur du vaste monde depuis longtemps. »
En 2005, il embarque sur la Jeanne d'Arc avec son ami Bernard Giraudeau. Là, il a été saisi par le virus du monde des gens de la mer. Après avoir côtoyé des recrues de la marine nationale, Christian Cailleaux s'est interrogé sur les motivations des jeunes engagés. Il les a suivi de l'école des Mousses au centre d'instruction navale de Brest, mais aussi en mer à bord de la frégate Floréal et même sous la mer, dans un sous-marin à propulsion nucléaire. Loin d'être militariste, le documentaire intimiste
de Christian Cailleaux s'adresse à tous ceux que la mer passionne. Rencontrant militaires, jeunes ou gradés chevronnés, politiciens, marins, scientifiques, il nous apporte quelques réponses sur ces jeunes gens engagés sous pavillon français, mais il lance aussi des pistes de réflexions : qu'est-ce que la dissuasion ? Quels sont les enjeux de demain face aux bouleversements géopolitiques, écologiques et technologiques que notre époque traverse ?
Peintre des silences et des solitudes embarquées, Christian Cailleaux ne prétend pas faire le tour du sujet mais avec une économie de moyens et une palette nuancée de dessins, il s'applique à montrer des situations complexes ou romanesques, autant que d'illustrer des voix fragiles ou théoriques. Embarqué est un documentaire émouvant et inédit dans sa forme, un portrait à facettes des hommes et des femmes, de la jeunesse qui a fait le choix de la mer comme univers professionnel tout autant que comme cadre de vie ; une place difficile à tenir, parfois. Un voyage ailleurs et loin au cœur d'un équipage militaire, vigie des zones de pêche et sentinelle pour les communautés scientifiques installées dans des zones très éloignées et très peu habitées. Christian Cailleaux conjugue esquisses, dessins techniques et marines délicates, une approche renouvelée qui, à l'instar d'une mer rapidement changeante, reflète la variété des profils embarqués.
S'embarquer c'est aussi pour certains s'éloigner d'une réalité à terre devenue trop lourde à supporter comme l'isolement de ce jeune adulte, grand enfant devenu trop vite orphelin. Christian Cailleaux porte un regard assuré d'humanité sur ces marins d'eaux dures, et caressant l'image pittoresque du marin en lui donnant l'épaisseur et la chair des marins militaires rencontrés avec qui il a navigué, il bouscule ainsi la poésie de ces icônes puisqu'être embarqué en 2015 répond aussi à une motivation économique pour la plupart.