Que se passerait-il si Deadpool devenait un tueur en série et s'en prenait à chaque héros de l'univers Marvel ? Comment stopper alors sa croisade meurtrière ? Le mercenaire disert est plus dérangé que jamais dans ce récit où l'horreur remplace l'humour !
Contient les épisodes US Deadpool Kills the Marvel Universe 1-4, publiés précédemment dans MARVEL SAGA (V1) 18, et l'épisode US Deadpool (2008) 1000 (III), inédit
Une armée de zombies déferle sur New York... mais ces morts-vivants sont en réalité les anciens présidents des États-Unis ! Un seul héros Marvel a les compétences nécessaires pour les arrêter : Deadpool. Le mercenaire disert va notamment affronter Richard Nixon et Abraham Lincoln puis se mesurer à Ronald Reagan... dans l'espace !
Contient les épisodes US Deadpool (2013) 1-6, publiés précédemment dans DEADPOOL (V4) 1 à 3
Cette compilation de 128 pages reprend des gags et histoires courtes de Léonard liés au thème de l'écologie.
L'heure de la mort a sonné pour les X-Men ! La reine vampire Séléné veut dévorer suffisamment d'âmes afin de s'élever au rang de divinité. Les membres d'X-Force et des Nouveaux Mutants s'opposent à elle mais doivent affronter une armée de morts-vivants. Une aventure qui se déroule sur l'île de Génosha désormais appelée Necrosha !
Contient les épisodes US X-Necrosha 1(I-II) ; X-Force (2008) 21-25 ; New Mutants (2009) 6-8 ; X-Necrosha: The Gathering 1(I-II-III-IV-V), publiés précédemment dans X-MEN (V1) 164 à 167, ASTONISHING X-MEN 65 à 69
La série Amazing Spider-Man fait son grand retour en intégrale ! Retrouvez les épisodes 224 à 235 (dont 2 inédits en France !) ainsi que le seizième annual. Peter Parker va notamment affronter le Fléau, le Vautour, Foolkiller et la Tarentule ! Assistez aussi à la première apparition de Monica Rambeau.
Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 224-235, Annual 16, publiés précédemment dans STRANGE 181 à 188 et STRANGE SPECIAL ORIGINES 223, sauf 234-235 inédits
Avec Tarzan contre la vie chère, Stéphane Trapier rejoue les cow-boys et les Indiens, il refait l'attaque de la diligence, les duels au soleil, les règlements de compte, les capes et les épées, les ors et les perruques, la flibuste et les mystères de la jungle. Ouvrir Tarzan contre la vie chère, c'est retrouver à chaque page les scènes initiatiques du cinéma du dimanche soir : les baisers, la sauvagerie, les corps à corps, l'héroïsme, la trahison, le crime... Mais les retrouver comme suspendues par le dessin, comme figées hors de leur temps, irrémédiablement arrachées à notre enfance.
Car ni les cow-boys, ni les belles marquises, ni les centurions ne parlent plus la langue, si niaise, si sentencieuse et si profonde, que nous leur connaissions jadis. Que leur est-il arrivé ? Ont-ils regardé la télé à leur tour ? Ont-ils fréquenté en cachette la machine à café du bureau ? Ont-ils lu 20 Minutes avant d'enfiler leur costume ? Comment expliquer sinon leur soudaine préoccupation pour les RTT, la dette souveraine, le mariage pour tous ou le bilan carbone ?
Il faut se rendre à l'évidence, Stéphane Trapier a tenté ici le reboot ultime : faire parler aux héros d'autrefois le langage de notre époque — les petits dialectes politiques, économiques, publicitaires et managériaux que Trapier excelle à capter et à restituer. D'ailleurs, chez Trapier les héros ne sont jamais fatigués de bavarder. À preuve Tarzan lui-même, singeant l'élu écoresponsable pour épater sa fidèle compagne : « Tu verras, Cheetah, un jour nos pagnes seront fabriqués dans des pays où le coût du travail est dérisoire, et nous les achèterons dans des enseignes aux prix alléchants... J'appellerai ça la mondialisation positive ! »
Et puis de toutes façons, l'ouvrage est précédé d'un « Almanach 2007 des trucs sympas » qui justifie à lui seul sa présence en tête de gondole.
Hans et Orchidée font partie des survivants retranchés dans une forteresse continuellement agressée par des ennemis de l'extérieur et de l'intérieur. La force de leur amour et leur fervent désir de liberté menaçant l'ordre établi, l'autorité dictatoriale de la Ville leur confie les missions les plus périlleuses dans l'espoir qu'ils n'en reviennent pas.
Ce volume contient les albums suivants : La loi d'Ardélia, La planète aux sortilèges, Les enfants de l'infini et Le visage du monstre.
Après la science (Fables Scientifiques) et la maladie mentale (Fables Psychiatriques), Darryl Cunningham se penche sur les relations entre la politique et l'économie, et plus précisément sur l'évolution des doctrines libérales et leur rôle dans le déclenchement de la crise de 2008, puis de la montée de l'extrême droite en Europe. Cunningham brosse d'abord le portrait d'Ayn Rand, auteure américaine - La Grève - qui a été extraordinairement influente aux États-Unis.
Ayn Rand est à l'origine de la doctrine de l'objectivisme et a influencé de très nombreux hommes politiques américains, dont les libertariens, mais aussi des personnes clés de l'administration qui jouèrent un rôle prédominant au moment de la crise de 2008. Cunningham décrit ensuite dans le détail, les mécanismes en cause dans cette crise, et les ravages qu'elle a causés, parallèlement à un nouvel essor des politiques libérales et à la montée de l'individualisme dans nos sociétés. Son engagement est sans équivoque et il annonce clairement la couleur dans sa préface : « Dans des États démocratiques, où le droit de vote existe, on ne peut s'en prendre qu'à nous-mêmes d'avoir donné le pouvoir à ceux qui estiment vertueux de privilégier l'amoncellement d'argent au lieu de l'égalité de tous ».
Seul survivant du naufrage spatial dans lequel ont péri ses parents,
Nao est recueilli par une tribu de paisibles pêcheurs, sur Aquablue.
Cette planète est couverte d'océans dont l'exploitation,
par un consortium colonisateur terrien, va provoquer
la glaciation définitive. Prêt à tout pour sauver sa planète
d'adoption, Nao s'engage dans un combat désespéré,
aux côtés de ce peuple bleu qui est devenu le sien.
Mais les eaux d'Aquablue recèlent bien des surprises...
La guerre est finie mais restent les décombres et les blessures qui ne se renferment pas. Dans une prison du Midi de la France, Josu – ex-militant de l'ETA – rencontre Emmanuel, ex-membre du GAL. À presque mille kilomètres de distance, Antón – ami d'enfance de Josu – vit dans le deuil de son père, tué par l'ETA vingt cinq ans plus tôt. Marqués au fer rouge par le conflit qui a ébranlé le Pays Basque, ces trois là sont rongés par la rancœur et la culpabilité ; ils entament un dialogue hésitant, sans cesse troublé par les fantômes du passé, afin de tenter de se retrouver, de tourner la page...
Tout en s'inspirant d'une histoire vraie, après un long et minutieux travail de documentation, c'est pourtant par une fiction que Javier de Isusi (Ometepe, Les voyages de Juan sans Terre) a choisi d'évoquer l'histoire récente de son pays ; ces trois personnages, qui en incarnent chacun une facette, sont le point de départ d'un questionnement sur la violence et ses conséquences, et en premier lieu les moins visibles : celles qui déchirent l'esprit humain jusqu'au plus profond de lui-même. Avec une extrême délicatesse et sans jamais tomber dans la stigmatisation manichéenne, Javier de Isusi entame dans Voir des baleines une profonde réflexion sur le conflit fratricide qui a ensanglanté sa terre natale tout en montrant le chemin qui mène à la réconciliation.