Mara, 29 ans, est écrivaine de romans policiers, passionnée de cas non résolus. Pour mener à bien ses projets éditoriaux, elle mène l'enquête et, souvent, démasque l'auteur des crimes. Mais c'est là que se révèle la face sombre de la jolie jeune femme: N'ayant aucune confiance dans la justice des hommes, elle décide d'être la main de Dieu et de châtier elle-même le coupable. Belle et désinhibée, elle sait fort bien attirer sa proie vers la toile qu'elle tisse tout au long de l'histoire.
D'où vient cette soif de justice ? Quelle épreuve peut bien transformer une jeune femme joyeuse, douée et jolie en sinistre exécutrice ? Sans doute un secret qu'elle cache tout au fond de sa mémoire.
Avec son trait précis et sa mise en couleur subtile, Cosimo Ferri nous offre aujourd'hui le troisième volume de sa série érotico-policière !
Résumé du 3e tome :
Après avoir reçu une mystérieuse vidéo, Mara repart à la recherche de son passé dans les plus beaux endroits d'Italie. Mais ce retour vers le passé génère davantage de questions qu'il n'en résout. Mara saura-t-elle réunit les pièces de ce puzzle ? Qui croire ? À qui faire confiance ?
Comment accepter l'effrayant visage de la vérité ?
Une nouvelle enquête policière pour la délicieuse Mara !
Avec La Bande Dessinée et son Double, sa thèse de Doctorat, JC Menu mettait à nu vingt ans d’explorations diverses, et analysait l’importance pour lui du fragmentaire et du polymorphisme. De cette remise à plat ne pouvait naturellement découler qu’un projet fragmentaire et polymorphe.
Métamune Comix juxtaposera et entrecroisera donc tous les axes hétéroclites explorés par JC Menu dans le passé : l’autobiographie, la métafiction du Mont-Vérité, les chroniques musicales à la Lockgroove, l’expérimentation oubapienne, et divers fantômes qui ne demandaient qu’à revenir hanter le papier.
L’ouvrage sera présenté comme la reliure d’un périodique imaginaire, un Mune Comix qui n’aurait jamais cessé de paraître depuis ses débuts en 1993. L’auteur et l’éditeur s’accorderont donc à tenter de faire exister ici un objet d’un type inconnu, et à y transmuter le langage de la Bande Dessinée en une forme de métaphysique populaire.
Avec ce deuxième volume, replongez dans l'univers exotique de cette île oubliée du Pacifique Sud.
Sur cette île paradisiaque, la belle Nassao vit sereinement son amour secret avec Ricky, l'entomologiste, mais l'arrivée d'une équipe géologique, en mission de recherche de minerais rares, bousculera ce jardin d'éden. Notre héroine arrivera-t-elle à faire revenir le calme sur ce petit paradis perdu ?
Dans ce recueil de nouvelles datant de la fi n des années 1980, Maruo s’en donne à coeur joie en explorant autant que possible les limites de la provocation. Il réécrit ainsi l’histoire en imaginant un monde où le Japon aurait vaincu les États-Unis en 1945, et parodie avec humour une légendaire chanteuse populaire japonaise des années 1970, devenue une lycéenne diabolique semant la terreur partout où elle passe. L’auteur virtuose pousse l’abstraction encore plus loin que dans ses autres livres, et parvient avec ce manga eroguro particulièrement dérangeant à effacer les frontières entre cauchemar et réalité.
Notre Mère la Guerre est un récit, sous des allures d'enquête policière, qui prend la guerre comme sujet principal. Un récit qui aborde la question de ce Mal Absolu qu'est la guerre, à travers l'affrontement de deux hommes en plein coeur des tranchées françaises : un caporal et un lieutenant de gendarmerie, un socialiste antimilitariste et un militant catholique et patriote. Janvier 1915. Champagne pouilleuse.
Cela fait six mois que l'Europe est à feu et à sang. Six mois que la guerre charrie ses milliers de morts quotidiens. Mais sur ce lieu hors de raison qu'on appelle le front, ce sont les corps de trois femmes qui font l'objet de l'attention de l'état-major. Trois femmes froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d'adieu. Une lettre écrite par leur meurtrier.
Une lettre cachetée à la boue des tranchées, sépulture impensable pour celles qui sont les symboles de la sécurité et du réconfort, les ultimes remparts même de l'Humanité. Des femmes... C'est impossible. Tout s'écroulerait. Ou alors c'est la guerre elle-même qu'on assassine.
LE CHEF-D'OEUVRE DE HAL FOSTER DANS UNE NOUVELLE ÉDITION PRESTIGIEUSE ! ABSOLUMENT INCONTOURNABLE !
Durant près de 35 ans, Harold Foster a écrit et dessiné Prince Valiant dans les pages dominicales de nombreux journaux américains.
Trésor de l'âge d'or aux États-Unis, oeuvre fondatrice de la bande dessinée mondiale, Prince Valiant est unanimement reconnu comme un chef-d'oeuvre.
Cette nouvelle édition, bénéficiant d'une qualité de reproduction inédite en France, est l'occasion de découvrir ou de redécouvrir ce pur joyau de l'âge d'or de la bande dessinée américaine.
Situé au début des années 80, dans la banlieue d'Akron, une ville de la Rust Belt frappée par la crise économique, Punk Rock et mobile-homes est une comédie déjantée dans le milieu de la musique punk, et une version trash des teenage movies de John Hughes. Le personnage principal, Otto Pizcok, est en terminale et vit dans le parc de mobile-homes appartenant à son grand-oncle. Gros balèze féru du Seigneur des Anneaux à la personnalité un peu borderline, il est à la fois admiré et incompris de ses camarades de classe. Grand fan de musique punk, il fréquente assidûment la principale salle de concerts punk d'Akron. Grâce à son impressionnant aplomb, il parvient à se débarrasser de son image de nerd pour devenir le guide/roadie de sommités du Punk telles que Joe Strummer ou les Ramones...
Ceux qui restent, ceux qui partent, ceux qui rêvent : chassés-croisés dans la vie de Philippe Manche. Installé dans un village du Bordelais cerné de vignes, Philippe Manche mène une vie paisible entre sa librairie, les parties de pêche avec les copains et sa relation amoureuse et épistolaire avec Camille. L'été arrive, et avec lui sa mère et son fils, venus le rejoindre pour les vacances. On retrouve les dialogues savoureux et l'humanisme bienveillant des Gens honnêtes, le temps d'un bout de chemin souvent drôle, parfois doux-amer, sur les sentiers de la vie.
Les 3 enfants Esteban, Zia et Tao ont réussi à faire évader Mendoza, Sancho et Pedro de la prison de Barcelone où le mystérieux Zarès les avait enfermés. Le soir venu, Mendoza avoue à Esteban que le prêtre mort dans les décombres de la première Cité en Amérique latine était son père. Au petit matin, notre jeune héros a disparu.
Le dernier cycle de la série phare de Jodorowsky ! Le retour de John Difool va étonner plus d'un lecteur : on n'a jamais vu un Incal aussi bien dessiné, en combinant la lisibilité et l'élégance? de Moebius avec la technicité et la modernité de Gimenez. Ce nouvel auteur prodige s'appelle Ladrönn. C'est un artiste renommé outre-Atlantique. Dessiner l'Incal est le rêve de sa vie. Gageons que les fans ne seront pas déçus et que les qualités de l'album à elles seules convaincront aussi un large public. Avec la saga de L'Incal, Jodorowsky et Moebius au début des années 80 avaient révolutionné la SF, introduisant un ton nouveau et des thèmes jamais abordés en bande dessinée. Aujourd'hui, l'idée de mêler space-opera et quête mystico-religieuse fait partie du menu courant. Alors la saga de L'Incal se retourne vers elle-même et creuse sa propre mythologie. Ce n'est pas moins de quatre John Difool différents qui deviennent les héros d'une histoire qui renoue avec le grand Jodorowsky de L'Incal Noir...