Spin-off de la série Yaxin, ce conte poétique qui s'adresse à nos âmes d'enfants perce à jour le mystère des licornes ! Une île entre rêve et réalité.
Petit faune né avec le Printemps, Gabriel, vibre d'intérêt et de
curiosité pour ces créatures extraordinaires que sont les licornes. «Toute chose magique ayant une origine naturelle», il se questionne...
Quel mystère entoure leur naissance ? Quelle place, quelle fonction ces animaux mythiques occupent-ils dans ce monde imaginaire ?
Poétique et musical, Le Jour de la licorne aborde le
fantastique par un biais plus intime. Chaque page s'apparente à un 'haïku graphique' et tend à refléter un sentiment ou une idée plutôt qu'une action. Le texte, ciselé, soutient cette idée narrative et vise à réveiller certaines émotions enfouies en nous.
Tandis que le tueur surnommé « Le Phoenix » continue de semer la mort, Jonathan et ses amis d'enfance vont livrer une lutte acharnée contre les responsables de la terrible expérience...
Dans cet ultime volume, notre héros va tout mettre en oeuvre pour retrouver ses anciens amis... Il va apprendre qu'eux aussi sont confrontés à des phénomènes étranges et très dangereux... Tout comme lui, ce sont des « NAUFRAGÉS » !!
Dans Éliminer Vassili Zaitsev, 4e tome de WW2.2, Hanna et Ramon Rosanas mettent en scène une bataille entre snipers qui, dans la réalité, s'est déroulée à Stalingrad pendant la Seconde Guerre mondiale...
Ce 4e épisode de WW2.2 est dédié à Vassili Zaïtsev, sniper surdoué et capitaine de l'Armée rouge. Figure emblématique de la bataille de Blackpool, il voit son unité tenir la ville face à une armée anglaise en déroute sur son propre sol. La situation est intolérable pour le commandement britannique qui fait appel à un commando de tireurs d'élites américains. Dans les ruines de Blackpool, une guerre invisible et impitoyable va voir le jour... Une guerre ayant un seul et unique but : éliminer Vassili Zaïtsev.
Éliminer Vassili Zaïtsev est le 4e volet de WW2.2, une uchronie aux allures de récit de guerre et une vraie bande dessinée d'espionnage.
« C'est alors que j'ai réalisé que j'étais non seulement morte, mais assassinée »
Rien ne va plus pour Emma depuis qu'elle s'est réveillée morte au beau milieu de son salon... Loin de reposer en paix, la vieille dame se met paradoxalement à revivre sous le coup de l'indignation devant son propre assassinat ! Emma a désormais une compagne dans cette étrange adversité, sa copine Line, ornée elle aussi d'un bel impact de balle sur le front. Et Pierre, lui, est-il vraiment mort et toujours enterré ?
Comment enquêter quand on est macchabée ? Avec un délicieux humour macabre, les auteurs dressent le magnifique portrait d'une femme ayant traversé toute l'histoire du XXe siècle, et nous racontent une très belle histoire d'amour, qui va littéralement au-delà de la mort... Le premier volume de ce diptyque signé du scénariste de Miss Pas Touche a été plébiscité par une presse unanime et a reçu le prix de la BD du mois par RTL.
Tous les adolescents sont uniques, mais Ange Tomassini l'est encore davantage... Et cela lui fait peur. À chaque fois qu'il est en danger, un mystérieux homme-tigre vient le tirer d'affaire. Comment expliquer autrement que ses camarades et ses professeurs le craignent tellement... ?
Ange traîne un lourd secret. Avec l'aide de Dan, son mystérieux garde du corps, il se lance à l'assaut de son destin et de la famille la plus puissante et la plus dangereuse de la ville : la sienne.
Si Ange Tomassini, 14 ans, n'est pas ce mystérieux homme-tigre qui vient inlassablement le protéger de tout danger, alors pourquoi ses camarades et professeurs le craignent-ils tous... ? Et qui est, alors, cet étrange fauve ? Les réponses l'attendent. Mais, pour les connaître, il lui faudra tout quitter...
Pas de répit pour les Bleus ! Et des défi s encore plus impressionnants !
Un grand tournoi est organisé pour déterminer quelle est la meilleure équipe de football en France. Et les Bleus devront y affronter les meilleurs jeunes joueurs, représentant les plus grands clubs de football professionnel français. Tous de futurs champions !
Une véritable compétition unique en son genre et remplie de surprise ! Mais les adversaires peuvent vite se révéler de précieux alliés quand l'esprit du foot est menacé par de sombres ennemis !
"Georges Remi est mort le 3 mars 1983. Mais 30 ans plus tard, Hergé est encore bien vivant. J'entretiens avec lui un dialogue qui ne s'est pas arrêté depuis qu'il a quitté notre bonne vieille terre. Cette lettre est une façon de rendre public cet échange avec un artiste hors pair, qui est moins un fantôme qu'une ombre bienfaisante. Loin d'avoir terni l'éclat de Tintin, le récent film de Steven Spielberg l'a fait découvrir à une nouvelle génération de lecteurs.
Un nouvel avenir se laisse entrevoir pour le héros d'Hergé. Que ce soit à travers les 22 albums canoniques ou à travers des films qui prendront graduellement leur distance face aux aventures originelles, Tintin est en passe de devenir un mythe. Ce sont ces bonnes nouvelles que ma lettre vise à transmettre à Hergé. J'en profite pour lui parler de ses personnages et lui proposer une interprétation d'un succès qui ne s'est pas démenti depuis plus de quatre-vingts ans." Jean-Marie Apostolidès.
De l'orphelinat où elle passa une partie de son enfance avec ses deux soeurs, à la gloire qu'elle connut grâce à sa maison de couture, Gabrielle Chanel, surnommée Coco par ses amis, mena une vie exaltante, faite de rencontres incroyables avec les plus grands artistes de son temps, mais aussi de drames et de solitude. Elle révolutionna la mode du XXe siècle, ou plus précisément, l'allure des femmes : cheveux courts, matières confortables, faux bijoux et bien sûr son célébrissime tailleur gansé qui continue aujourd'hui encore à habiller les élégantes de la planète.
D'elle, on sait tout ou presque. On connaît moins la petite fille solitaire qu'elle fut. Ici, Pascale Frey et Bernard Ciccolini retracent fidèlement, une enfance sombre, une enfance violente, où celle qui se nommait encore Gabrielle fit l'amère expérience de l'abandon et de la misère, pour devenir ensuite celle qui grandit et devient, au fil de ces pages, l’inouliable « Mademoiselle ».
Isadora Duncan c'est la femme sauvage, celle qui peut répondre de ses actes, qui tous découlent d'une vision de la danse qu'elle semble porter depuis l'enfance et mûrir tout au long de sa vie.
Célébrant le beau à la manière des Grecs antiques, Isadora Duncan dansait pieds nus, vêtue seulement d'une toge. Cela se passait à l'époque du corset en Europe et du puritanisme protestant en Amérique. Pourtant Isadora Duncan ne le vivait pas comme une provocation, qu'elle semble ignorer, mais comme un acte naturel, celui de la nudité en soi de l'époque hellène. Avant même le droit de vote des femmes, celle-ci s'émancipe et de l'Église et de l'État, en assumant ses maternités hors-mariage.
Josépha Mougenot, jeune auteure, et Jules Stromboni, jeune et déjà réputé illustrateur – son Sherlock Holmes chez Casterman fut un succès et son Epouvantail chez le même éditeur est déjà en compétition à Angoulême – se sont réunis autour de leur passion commune pour la figure de cette femme exceptionnelle.
L'écriture sensible de Josépha Mougenot et le trait vivant de Jules Stromboni opèrent une sorte de miracle : Isadora Duncan nous parle, racontant une enfance bohême et solitaire, même au sein de sa nombreuse fratrie.
Le geste se devine, la voix chante, Isadora est dans le mouvement, au gré de ces pages. Elle ouvre la voie à la future danse contemporaine
UNE TRILOGIE HISTORIQUE SUR FOND DE DRAME FAMILIAL
Cette « histoire française » se déroule au début des années 1960.
Elle comprendra trois volumes : Bleu, Blanc, Sang avec des flashbacks pour les faits se déroulant autour de la période du débarquement en Provence (été-automne 1944).
Car, certains des personnages qui forgent la France des Sixties, hommes politiques et capitaines d'industrie, ont utilisé la seconde guerre mondiale pour asseoir une sorte de légitimité personnelle et historique. D'aucuns ont joué un véritable rôle de résistant et de combattant dans la deuxième guerre mondiale. D'autres n'hésitèrent pas à usurper un titre ou à s'inventer un passé de héros pour jouir d'une aura qui allait leur ouvrir les portes du pouvoir, de l'argent et de la renommée.
Mais tôt ou tard les masques tombent. Avec fracas et dans le Sang...