A bord du Bristol en route pour Singapour, Padraig Wantage, qui possède le testament de Dennis Rourke, trace les plans de L'Erin, sa future goélette.
Au Cap de Bonne Espérance le Bristol essuie tempête. Padraig se fait remarquer par son aptitude à la manœuvre des gréements. Plus tard, son voilier construit, il recrute un équipage grâce à Kim un jeune skipper malais. L'Erin gagne Hobbart, base de baleiniers. Battant pavillon irlandais, L'Erin suscite la méfiance des autorités. Padraig loue un luxueux bungalow à l'armateur Jeremy Carter. Celui-ci demande à son homme de main d'enquêter sur la présence de Wantage.
Padraig met le cap sur Betsy Island à la recherche du trésor, sans succès. Après avoir ridiculisé Carter par voie de presse, il apprend d'un harponneur que Betsy Island a une île jumelle : Cap South Arm Island où a en effet été enfoui le trésor de Rourke. Wantage restitue les pièces d'or au gouverneur conservant qu'un écu symbolique.
Le Crépuscule des Guerriers est l'histoire de deux familles.
Deux destinées se croisent dans la haine avant des retrouvailles apportant l'espoir. Le fil conducteur reste un mystérieux vieil homme... Tout commence en 1942, par la rencontre, en Libye, de deux pilotes. L'un est français, engagé dans les Forces Aériennes de la France Libre; le second est polonais, venu en soutien aux puissances engagées sur ce théâtre d'opérations.
Le très apprécié Réseau Bombyce disponible en édition intégrale, sous coffret, pour la première fois...
Lancé en 1999 et conclu en 2010, Le Réseau Bombyce déploie son intrigue policière dans un univers rétro-futuriste, qui revisite le style Belle Epoque.
Unanimement salué par la presse et les libraires dès son lancement, Le Réseau Bombyce jouit toujours d'une confortable notoriété. Les amateurs et les nouveaux lecteurs pourront désormais découvrir l'histoire en Intégrale et la lire d'une traite ! Edition enrichie de bonus.
Le 4 juillet 1862, à bord d’une barque descendant le fleuve Isis, Charles Lutwidge Dodgson, assistant de faculté au Church College d’Oxford, improvise pour les trois filles de son doyen le fantasque récit des aventures d’une petite fille tombée au centre de la terre. L’une d’elles, Alice, lui demande d’en faire un livre. Il s’exécute et offre à la fillette en cadeau de Noël un carnet soigneusement manuscrit et illustré. Augmenté et désormais signé par un certain Lewis Carroll, ce texte va devenir en 1865, Alice au pays des Merveilles. Les images initiales, jugées inadéquates, ont alors laissé place aux dessins d’un dessinateur réputé, John Tenniel avec le succès que l’on sait, puisque sa vision influera durablement la perception de l’ouvrage. En restituant le contenu du précieux carnet, agrémenté d’une nouvelle traduction en français, le Frémok ne satisfait pas seulement les amateurs de manuscrits anciens, il redonne à un livre unique toute sa saveur, ses charmes et ses ombres.
Réalisé avec Jodorowsky en 1978, Les Yeux du chat fut, à l'époque, offert aux fidèles lecteurs des Humanoïdes Associés. Initialement publié en petit format, cet album va faire l'objet d'une nouvelle édition luxueuse, dans un format 30 x 40 cm, sur papier de couleur jaune comme à l'original, sous couverture rigide, sans jaquette.
Pour toutes les nanas, lookées, pas lookées, fi-filles ou garçons manqués, teenages branchées ou adulescentes qui s'ignorent, pour celles qui pleurent devant Twilight autant que pour celles qui se marrent devant Massacre à la tronçonneuse : big up !
Réclamé depuis un certain temps déjà, voilà un imposant volume regroupant les 4 épisodes de cette série atypique. Epopée intimiste, autobiographie déformée, science-fiction décalée, Lupus a le mérite de n'entrer dans aucune case, de ne correspondre à aucune définition. Lancé deux ans après la publication de Pilules bleues, Lupus a tout d'abord désarçonné certains lecteurs puisque Frederik Peeters quittait les rivages de l'autobiographie pour se plonger dans quelque chose de diamétralement opposé, une série de science-fiction. Sans mépriser les codes du genre, Peeters s'est amusé à jouer avec, voire à les transcender, pour à l'arrivée nous offrir une œuvre très personnelle. Une œuvre emblématique d'un auteur en perpétuel mouvement.
En 2007, Lupus 4 a été couronné du Prix Essentiel à Angoulême.
A la veille de l'An Mil dans un Moyen-Age légérement décalé avec pour toile de fond la hantise de la fin des temps, des puissances avides de terminer un combat venu des temps bibliques s'affrontent... Des puissances dont toutes ne sont pas d'origine terrestre, comme les mystérieux Sylphes et leurs vaisseaux aériens... Readwald le Saxon mène l'enquête depuis qu'il s'est trouvé par hasard en contact avec le complot des Sylphes.
Enigmes et surnaturel dominent cette série dont le cadre historique revit sous le pinceau de Miville-Deschêne, son trait précis et énergique donne toute sa mesure aux aventures extraordinaires imaginés par Nolane.
Des histoires vécues qui sentent la gomme et le super !
De nouveaux horizons s'ouvrent pour Cathie dans ce second volet, plus effrontée que jamais et qui n'a perdu ni sa mauvaise foi, ni sa prédisposition pour les gaffes à gogo.
Amoureux des contes populaires et du merveilleux qui s'infiltre dans les interstices du quotidien, Shigeru Mizuki a placé les yôkaï, ces êtres surnaturels qui peuplent les coulisses de notre monde, au centre d'une création qui oscille constamment entre fantastique, humour et poésie. Immensément populaire au Japon, où pas un enfant ne grandit sans dévorer ses aventures, Kitaro le repoussant est le héros emblématique d'une œuvre qui se penche sur les monstres pour mieux parler des hommes. Sa description fait dresser les cheveux sur la tête : ultime descendant d'une tribu de morts-vivants, Kitaro est né borgne, en rampant hors de l'utérus du cadavre de sa mère, condamné à errer dans un monde qui ne veut pas de lui... Pourtant, loin du tragique étouffant que laisse présager ce funeste résumé, Kitaro le repoussant est une série délicieuse. Les tribulations de ce gamin chargé de résoudre les conflits opposant les humains aux yôkaï sont un plaisir rare mariant subtilement la noirceur à la legèreté. Les lecteurs français de NonNonBâ ne manqueront pas de retrouver dans ce monument de la bande dessinée japonaise l'humour et l'inspiration qui les avaient fait chavirer de bonheur.